Et hop! Du Wip avec des Sternguards! Quand ceux la seront finis, j'aurai une escouade de dix. Ce sont en fait un mix de vétérans Sternguards métal, des vétérans des Guerres Tyranniques, un vétéran apocalypse V5 et une conversion. :)
Photos!
mercredi 7 mai 2014
jeudi 3 avril 2014
The Expendables, le retour de la vengeance!
On a enfin le casting avec les premiers posters...
Adios Bruce Willis/Mr Priest... Mais bonjour les monstres sacrés comme Harrison Ford et Mel Gibson!!
Voilà le casting. Aucun commentaire n'est nécessaire, ça va déboîter.
Je me suis limite fait dessus tellement c'est trop kikitoudur.
Adios Bruce Willis/Mr Priest... Mais bonjour les monstres sacrés comme Harrison Ford et Mel Gibson!!
Voilà le casting. Aucun commentaire n'est nécessaire, ça va déboîter.
Je me suis limite fait dessus tellement c'est trop kikitoudur.
mardi 1 avril 2014
mardi 25 mars 2014
Le XVe Lanciers de l'Ostland
Aujourd'hui voit la fin d'une grosse (et belle) unité!
Quarante lanciers, si on veut faire ça bien, ça prend du temps... Et il m'aura fallu deux ans! ^^
Bon, bien sûr, j'ai fait moultes autres choses, mais quand même!
Allez, photo!!
Moi je trouve ça beau.
L'état-major, avec les vieux champion et étendard des Joueurs d'épée.
Et le drapeau alternatif:
Très content de cette unité. L'attente valait le coup!!
Quarante lanciers, si on veut faire ça bien, ça prend du temps... Et il m'aura fallu deux ans! ^^
Bon, bien sûr, j'ai fait moultes autres choses, mais quand même!
Allez, photo!!
Moi je trouve ça beau.
L'état-major, avec les vieux champion et étendard des Joueurs d'épée.
Et le drapeau alternatif:
Très content de cette unité. L'attente valait le coup!!
mercredi 2 octobre 2013
Résurrection!
Tout est dans le titre, la page ici présente remonte des profondeurs, en creusant la terre avec ses petites pattes. Ça ne se fait pas sans mal cela dit.
Bref, une trop longue période d'inaction ne signifiant pas nécessairement une inactivité hobbyistique (néologisme magnifique.) je vous assure avoir peint les mois passés. Pas énormément peut-être, mais peint quand même!
Aussi, si ça ne vous dérange pas, je me permet une petite rétrospective de l'année passée. De toutes manières, j'm'en fous, je fais ce que je veux.
Bref, une trop longue période d'inaction ne signifiant pas nécessairement une inactivité hobbyistique (néologisme magnifique.) je vous assure avoir peint les mois passés. Pas énormément peut-être, mais peint quand même!
Aussi, si ça ne vous dérange pas, je me permet une petite rétrospective de l'année passée. De toutes manières, j'm'en fous, je fais ce que je veux.
Des Petits cultistes du chaos, pour le plaisir...
Un sorcier du domaine de la bête pour l'Empire
Et un Tank à Vapeur, toujours pour l'Empire
Des Orks, par pleines poignées...
Mais je me rend compte qu'il me manque un bon paquet de photos, aussi je devrais revenir avec un nouveau post pour vous montrer le reste.
Allez, adéu! ;)
mardi 24 juillet 2012
The Article Gotham Deserves
Les lignes qui vont suivre ne sont pas de moi, bien incapable d'une telle prose, et sont honteusement pompées chez mes bons amis de chez Republ33k.
En cette veille de sortie en France du dernier Opus de la saga Batman, avec The Dark Knight Rises, intéressons nous plus avant sur la base de ce fantastique Anti-Héros, figure emblématique de la culture pop', à savoir les comics, support originel des aventures du plus grand justicier masqué de l'Histoire.
Je vous souhaite bonne lecture, et vous encourage vivement à aller visiter le site de l'auteur ( Je remet le lien ici ), à commenter et partager l'article.
Laissons maintenant place aux mots de l'auteur.
Au premières heures de Republ33k, j’écrivais déjà un article sur ce sujet, et ceux qui nous suivent depuis nos débuts s’en souviennent peut-être. Aujourd’hui, à deux jours de la sortie de The Dark Knight Rises,
le thème trouve une autre toute autre résonance. Enquête sur la
philosophie qui se cache derrière les plus grandes aventures du
chevalier noir.
Enfant, Batman me fascinait. A 20 ans,
il me plaît encore. Plus vieux, il me hantera surement. Quand on ne peut
pas résister à son côté Fanboy, je crois que la meilleure
chose à faire et de l’embrasser. J’ai donc lu, lu et relu, les plus
grands comics du chevalier noir. Tout commence avec Year One.
Frank Miller, légende à part entière, y réinvente les origines du
personnage pour faire face à l’essor de Marvel dans les années 80. Œuvre
historique, pour Batman comme pour les Comics, Year One nous
livre les bases d’un Batman moderne, plus sombre et plus complexe que
les super-héros que nous connaissons tous. Rien ne nous est épargné : La
mort des Wayne, l’exil de Bruce, ses premiers pas en tant que Batman…
Une véritable chronique retraçant les débuts d’un héros élevé au rang de
mythe. David Mazzuchelli est au sommet de son art, et dessine une
Gotham d’un trait pulp’, diamétralement opposé à la noirceur du
scénario. Un cocktail inattendu qui s’interroge sur la justesse et les
motivations de la croisade menée par le héros : Batman devient un héros
paria, traqué par ceux qu’il cherche à protéger. Un héros qui commet des
fautes, un héros finalement plus humain. Toute la force de Year One
réside d’ailleurs dans cette idée, puisqu’en mettant en scène la
première année de Batman, Miller ramène la légende au niveau du lecteur.
Un moyen unique de se plonger dans l’univers définitivement sombre du
héros crée par Bob Kane et Bil Finger en 1939.
Tout droit sorti de la fin des années 80′, c’est The Killing Joke
qui vint ensuite frapper à ma porte, comme une résurgence du comic book
violent et désabusé, comme on pouvait en lire à l’époque de Watchmen.
Une époque qui marquera à jamais son auteur, Alan Moore, qui
s’intéresse ici au Joker. Et Moore va droit au but. Aux antipodes d’un Watchmen, où les thèmes de réflexion fusent, The Killing Joke
attrape un sujet pour ne jamais le laisser filer. Ce sujet, c’est la
folie. Les cinquante pages de Brian Bolland viennent l’illustrer à
merveille, pour faire de cette mauvaise blague une descente aux enfers,
un exemple de folie qui n’appelle nulle réponse. The Killing Joke
est un tacle, un tacle fait à un univers entier, qui résonne encore
aujourd’hui dans la continuité des aventures du chevalier noir. De nos
jours, il est devenu impossible de penser le Joker autrement : Il est
devenu la Némésis parfaite, celle qui est au moins aussi connue que le
héros qu’elle cherche à détrôner. Aussi fascinante que violente, cette
lecture s’impose à tout amateur de bande-dessinée : The Killing Joke sera pour toujours un météore : il arrive de nulle part, percute quelque chose de solide pour le marquer à jamais…
Mais si l’œuvre de Moore s’intéressait à la psychologie des personnages, l’Asile d’Arkham,
autre monument de la mythologie Batman, en fait sa priorité. Lorsque le
Joker invite Batman dans l’asile, il nous invite à revoir notre avis
sur le héros. Les destins croisés, presque identiques, de Bruce Wayne et
d’Amadeus Arkham, créateur de l’établissement, forment ainsi l’argument
le plus percutant. Après tout, Batman est peut-être aussi fou que les
pires criminels qui lui font face… Voilà ce que Grant Morrisson veut
nous faire dire dans sa première approche de l’univers du chevalier
noir. Et pour cela, il peut compter sur Dave McKean, élève des beaux
arts qui livre ici un somptueux assemblage de dessins, peintures, photos
et collages, des années avant l’invention des logiciels de retouches
numériques. Dérangeant, inquiétant, troublant, ce récit prend un malin
plaisir à inverser les rôles pour faire de Batman un sujet de névrose.
Radicalement original, l’asile d’Arkham est une expérience unique dans
l’univers de Batman.
Face à ce traitement atypique, Un Long Halloween
pourrait faire pâle figure. Seulement, l’ouvre de Jeph Loeb est un
manifeste parfait pour le chevalier noir, l’archétype même de la double
lecture inhérente au personnage. Sous le modèle d’une intrigue
policière, Loeb rappelle au monde que Batman est parfois surnomé « The World Greatest Detective ».
En faisant du super-héros un simple enquêteur, l’intrigue rabaisse
Batman à la violence la plus crédible qui soit. Les vilains sont
présents, pour sûr, mes la plus grande menace, c’est Gotham. Une ville
tentaculaire qui est incarnée par ses parrains, une mafia sans pitié,
une hydre dont les têtes repoussent. Batman ramené à ce niveau de
trivialité, c’est là toute l’intelligence d’un Long Halloween,
qui voit son héros lutter contre un serial-killer que l’on pourrait
qualifier de réaliste. Parmi les publications Batman, l’œuvre n’est sans
doute pas la plus originale, ni même la plus sensationnelle, mais c’est
pourtant ma préféré. Le dessin de Tim Sale, d’une sobriété extrême,
frise l’élégance, et le scénario reprend l’essence même du personnage.
Tout ce qui fait la puissance de l’univers Batman y est retracé : des
doutes du héros aux personnages secondaires en passant par une ville
omnisciente. Un must.
Et si malgré cette avalanche de superlatifs, certains ne sont toujours pas convaincus, DC a une parade infaillible : Batman Silence.
Bien plus récent que toute les œuvres évoquées ici, cet arc magistral
prolonge l’univers Batman autant qu’il le fait découvrir. Que vous soyez
initié ou néophyte, Silence a le pouvoir de vous plonger dans
un univers formé par 70 ans de publications. Jeph Loeb s’attaque une
nouvelle fois au chevalier noir, et s’amuse à résumer toute la
continuité du héros à travers douze chapitres. Une chronologie qui rend
hommage à un des plus grands personnages de la culture populaire, ici
sublimée par l’accessibilité de l’œuvre. Le dessin réaliste et dynamique
de Jim Lee, dessinateur star, vous transporte dans cette histoire à
l’intensité incomparable. Probablement moins philosophique que les graphic novels
parus pour le chevalier noir, l’intrigue à le mérite de recourir à une
nouvelle menace pour justifier son propos. Procédé bien connu -récemment ré-utilisé par Snyder et sa Cour des Hiboux-
l’arrivée d’une menace jusqu’alors inconnue permet de briser la
confiance du lecteur, qui croit souvent tout savoir d’un univers. Un
divertissement de qualité, qui incarne à lui seul toute la temporalité
de l’univers Batman?
On pourrait s’arrêter là, mais on
oublierait une œuvre polémique. Or tous les auteurs et/ou personnages
connus en ont une. Celle-ci se nomme The Dark Knight Returns,
et elle est signée par Frank Miller. Aujourd’hui crucifié pour ces
propos extrémistes, l’auteur laissait librement filer sa pensée dans sa
préface de 2006. Il y attaque les médias, mal moderne, ou encore
l’inaction qui ronge nos sociétés. C’est pourquoi ce Batman, un vieux
Bruce Wayne évoluant dans un futur proche, sera violent et déterminé.
Après quelques années d’absence, le chevalier noir reprend du service,
pour faire face à la criminalité extrême sévissant à Gotham. Miller
explore la mythologie Batman au fil de pages, qu’il dessine lui même. Le
story-telling comme le dessin, froids et résolus, finissent par faire
écho à ce batman vieillissant, qui comme un boxeur exilé, revient
batailler pour son titre. Ce titre, c’est Gotham. Et Miller ne se prive
pas de la montrer sous son jour le plus funeste… gangs ultra-violents,
meurtres gratuits, émeutes, voilà les nouveaux ennemis de Batman. Mais
bientôt, le retour du chevalier noir attire les anciens super-vilains
comme un meute de loups enragés. L’homme face à sa ville, voilà le sujet
de ce Dark Knight Returns, qui présente Batman sous toutes ses
facettes, de l’extrémiste refoulé au chevalier paria en passant par la
légende urbaine. Un tableau justifiant à lui seul la complexité de
l’univers du chevalier noir.
Vous l’aurez compris, les
comic books sont loin d’être un genre creux, surtout lorsqu’on parle de
Batman. Le chevalier noir, passé entre les mains des plus grands
artistes de chaque générations, apporte ainsi son lot de réflexions
philosophiques à travers un univers sombre, mais ô combien proche du
notre. Alors un conseil, lisez.
Republ33k
jeudi 12 juillet 2012
De la munition à la compresse
Aujourd'hui, j'ai fini deux nouveaux Taniths. Dorden et Larkin, rétrospectivement Medic en chef, et Maître Sniper du 1er et Unique.
Photos!
Tolin Dorden, doyen du régiment, confident des soldats, et véritable conscience des Tanith veille sur leur santé physique et spirituelle depuis la mort de leur planète. Un personnage d'une grande bonté, plein de principes qu'il sait défendre, n'hésitant pas jusqu'à tenir tête au terrifiant commissaire Gaunt.
Dorden est vieux et las, physiquement, mais aussi moralement, à force de recoudre ses jeunes compatriotes et de récupérer leurs plaques sur leurs corps sans vie son regard semble emprunt d'une fatigue irrattrapable, rançon de la gloire de faire la guerre pour l'Empereur.
Hlaine "Mad" Larkin est le maître sniper du régiment. Son adresse au tir est presque magique, mais ce soldat au physique maigre est très souvent la proie de crises de folie, et est affublé d'une paranoïa aiguë, lui ayant pourtant sauvé la vie en bien des occasions. Ne croyant que ce qu'il voit à travers sa lunette, il n'en reste pas moins un soldat sur lequel compter, et qui à causé son lot de pertes chez le grand ennemi.
Photos!
Tolin Dorden, doyen du régiment, confident des soldats, et véritable conscience des Tanith veille sur leur santé physique et spirituelle depuis la mort de leur planète. Un personnage d'une grande bonté, plein de principes qu'il sait défendre, n'hésitant pas jusqu'à tenir tête au terrifiant commissaire Gaunt.
Dorden est vieux et las, physiquement, mais aussi moralement, à force de recoudre ses jeunes compatriotes et de récupérer leurs plaques sur leurs corps sans vie son regard semble emprunt d'une fatigue irrattrapable, rançon de la gloire de faire la guerre pour l'Empereur.
Hlaine "Mad" Larkin est le maître sniper du régiment. Son adresse au tir est presque magique, mais ce soldat au physique maigre est très souvent la proie de crises de folie, et est affublé d'une paranoïa aiguë, lui ayant pourtant sauvé la vie en bien des occasions. Ne croyant que ce qu'il voit à travers sa lunette, il n'en reste pas moins un soldat sur lequel compter, et qui à causé son lot de pertes chez le grand ennemi.
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